Il y a quelques temps, nous apprenions que Microsoft avait réussi à convaincre HTC de lui verser 5$ par appareil Android vendu, au titre du paiement de licences sur des brevets Microsoft qui seraient violé par Android. Aujourd'hui, c'est au tour de Samsung d'être sollicité par Redmond, qui semble de plus en plus gourmand...
En effet, Microsoft réclame auprès du coréen une licence qui atteindrait 15$ par appareil Android vendu, soit à peu de choses près le prix d'une licence Windows Phone 7... En voyant ces montants, on ne peut que se rappeler des propos tenus par un responsable de Microsoft l'année dernière au sujet d'Android : il indiquait que le fait que le système soit offert par Google ne signifie pas forcément qu'il est gratuit, les coûts cachés induits par d'éventuelles violation de brevets pouvant largement dépasser le coût d'un OS propriétaire...
Selon les rumeurs, Samsung ne serait pas opposé au paiement d'une licence, mais pas à ce prix et pas sans contrepartie. Le coréen aurait en effet proposer à Microsoft une licence de 10$ par appareil vendu, mais uniquement si en échange Microsoft s'engage à collaborer de façon plus étroite avec Samsung pour ses appareils sous Windows Phone 7.
Posté par Matt le 11/07/2011 à 14h11
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Source : Smartphone France
Depuis le mois de mars, Amazon vend des applications Android dans sa boutique Amazon Appstor for Android. Une dénomination qui ne plait pas particulièrement à Apple, qui a déposé le nom App Store, et a donc rapidement attaqué Amazon...
Amazon a répliqué en expliquant que le terme "App Store" est trop générique pour constituer une marque déposée dans le cadre d'une boutique d'applications, et a déposé un recours auprès du bureau des marques Européen pour faire invalider la marque, tandis que Microsoft faisait de même aux États-Unis.
Amazon vient de marquer ses premiers points face à la justice américaine, qui a débouté Apple sur une partie de sa plainte. Si la justice ne s'est pas encore prononcée sur le fond, donc n'a pas encore validé l'emploi du terme Appstore par Amazon, elle a rejeté l'une des demandes d'Apple, qui réclamait que la justice interdise l'emploi de ce terme de façon préventive, en attendant qu'elle tranche sur la légalité de son usage.
Une décision que la juge justifie par le fait que plusieurs entreprises autres qu'Apple utilisent ce terme pour désigner des boutiques applicatives. Reste maintenant à attendre une décision sur le fond, mais cette première décision montre que la juge pourrait bien trancher en faveur d'Amazon.
Posté par Matt le 11/07/2011 à 13h11
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Source : Branchez-vous: Techno
Il y a 3 mois, Amazon lançait son service Cloud Player, permettant de stocker votre musique en ligne sur les serveurs d'Amazon, pour la lire ensuite en streaming depuis quasiment n'importe quel appareil. Suite au lancement d'offres concurrentes, Amazon vient de faire une importante modification tarifaire.
En effet, alors qu'au lancement l'offre Cloud Player proposait 5 Go gratuits (20 Go en cas d'achat d'un album MP3 chez Amazon) et facturait le Go supplémentaire 1$ par an, l'espace de stockage est désormais illimité pour 20 dollars par an. Un tarif qui vise sans doute à s'aligner sur l'offre iTunes Match d'Apple, qui proposera aussi un espace de stockage illimité, pour 25$/an. L'offre de Google est pour sa part limitée à 20 000 titre dans sa version gratuite, et aucune information n'a été communiquée pour l'instant sur une version payante. Il y a toutefois fort à parier qu'elle s'aligne sur les autres offres de Google, c'est-à-dire 0.25$ annuels par Go de stockage, avec des offres de 20 Go à 16 To.
L'offre iTunes Match conserve toutefois un avantage majeur pour l'instant : grâce à la reconnaissance des titres de votre bibliothèque, seuls ceux qui ne sont pas vendues par l'iTunes Music Store devront être uploadés, les autres seront repris directement dans les "rayons" de la boutique d'Apple, en AAC 256 kbit/s. De quoi gagner pas mal d'heures d'upload...
Posté par Matt le 08/07/2011 à 09h10
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Source : Clubic
Après que Sony ait offert aux possesseurs de PlayStation 3 la possibilité de sauvegarder leurs parties en ligne, Microsoft se devait de réagit, et c'est désormais chose faite, le Xbox Live permet maintenant la sauvegarde des parties.
Une solution qui pourra s'avérer très pratique dans diverses situations. Ainsi, en cas de crash du disque dur de votre Xbox 360, ou même en cas de remplacement complet de la console, vous n'aurez qu'à vous identifier sur le Xbox Live depuis votre nouvelle console pour récupérer votre profil complet, y compris les sauvegardes. Une solution bien plus simple que de faire des copies de vos sauvegardes sur clé USB, d'autant que certains jeux n'autorisent que le déplacement des sauvegardes, et non leur copie.
Ces sauvegardes en ligne permettront également de récupérer vos parties enregistrées lorsque vous utilisez occasionnellement une console qui n'est pas la votre. Mieux, les jeux achetés sur le Xbox Live pourraient eux aussi devenir téléchargeable de la sorte sur n'importe quelle console.
Malheureusement, cette fonction de sauvegarde en ligne est pour l'instant limitée aux jeux du Xbox Live Arcade, et Microsoft n'a pas indiqué s'il est prévu d'étendre cette possibilité aux autres jeux.
Posté par Matt le 06/07/2011 à 12h11
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Source : PCInpact
Comme tous les mois, comScore vient de publier son étude sur les parts de marché des principaux OS mobiles dans le parc de smartphones américain. Une étude qui confirme une récente tendance à la hausse d'iOS, tandis qu'Android continue d'assoir sa domination.
Du côté d'iOS, après avoir oscillé pendant un an et demi entre 23.8 et 25.5%, la part de marché était montée à 26% en avril. Elle atteint désormais 26.6%. Une hausse qui est probablement à mettre au crédit de l'iPhone 4 CDMA, lancé en février, qui a permis aux américains réfractaires à AT&T d'enfin profiter pleinement d'un iPhone sur un réseau concurrent (celui de Verizon). Cette performances permet par ailleurs à iOS de reprendre la seconde place du classement, en passant enfin devant le BlackBerry, qui ne cesse de perdre des parts de marché : il vient de passer sous la barre symbolique des 25%. Android conforte sa position, en augmentant son avance sur tous ses concurrents, avec une part de marché atteignant désormais 38.1%. Windows continue pour sa part sur sa pente très descendante, avec une part divisée par plus de deux en un an, de 13.2% à 5.8%, tout comme Palm (de 4.8% à 2.4%).
En nombre d'unités, iOS progresse de 1.5 millions d'unités et Android de 2.7 millions, tandis que les trois autres OS principaux perdent des adeptes : 100 000 de moins pour Palm, 200 000 de moins pour le BlackBerry, 400 000 de moins pour Windows. La très légère hausse du nombre d'unités sous Windows observée en début d'année n'est donc déjà plus qu'un lointain souvenir pour Microsoft, qui a perdu 800 000 utilisateurs depuis janvier.
Posté par Matt le 06/07/2011 à 10h51
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Source : Mac4Ever
Alors que Windows a quasiment été éjecté du marché des smartphones par iOS et Android, Microsoft a trouvé un moyen "original" de prendre tout de même sa part : faire valoir ses brevets auprès des constructeurs de smartphones Android pour monnayer des licences.
En effet, si Google propose le système gratuitement aux constructeurs, Microsoft considère qu'il viole plusieurs de ses brevets. Mais plutôt que de se lancer dans un choc frontal contre Google, qui engendrerait une longue et coûteuse bataille juridique, Microsoft a opté pour une stratégie peu classique, en s'attaquant aux constructeurs de smartphones Android. Bien moins puissants que Google, ceux-ci sont en effet plus enclins à chercher un règlement à l'amiable, par le paiement d'une licence.
Ainsi, après avoir attaqué Motorola en justice "pour l'exemple", Microsoft a négocié un accord avec HTC, qui lui aurait déjà rapporté plus d'argent que les ventes de Windows Phone 7 : sur chaque mobile Android vendu par le taïwanais, Microsoft touche 5$ de licence. Et encore, HTC bénéficierait d'un tarif privilégié, Microsoft proposant plutôt des licences comprises entre 7.5$ et 12.5$ par appareil.
Trois autres constructeurs d'appareils sous Android (Velocity Micro, General Dynamics Itronix et Onkyo Corp.) ont également accepté récemment le principe de ces licences, pour se prémunir d'éventuelles poursuites de Microsoft. De quoi assurer à Microsoft des revenus à plus ou moins long terme, indépendamment du succès de ses propres produits.
Posté par Matt le 05/07/2011 à 12h51
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Source : iGénération
Peu après l'officialisation de son nouveau réseau social Google+, Google a lancé un nouveau service, Google Takeout, qui vous permettra d'exporter aisément les données associés à votre compte Google, pour pouvoir ensuite les importer dans d'autres services.
En soit, ce n'est pas vraiment une nouveauté, les services Google permettant déjà pour la plupart l'export des données via des formats ou des protocoles ouverts (fiches de contacts au format vCard, courriers en IMAP, documents en OpenDocument, etc...), mais cette possibilité d'exporter en un clic les données de plusieurs services Google est bel et bien nouvelle, et il est difficile de ne pas faire le lien avec le lancement de Google+ : avec Takeout, Google propose une fonctionnalité similaire à la fonction "Télécharger vos données" de Facebook, qui permet de récupérer une archive ZIP contenant toutes les données partagées sur Facebook.
Et Google pourrait bien utiliser Takeout comme un argument supplémentaire en sa faveur, en montrant son ouverture : le fichier proposé par Google permettra de réimporter aisément les données dans de nombreux autres services ou applications, contrairement à celui de Facebook, qui semble être plutôt destiné à un rôle informatif. Google a d'ailleurs mis en ligne une vidéo humoristique pour présenter cette fonction. Elle présente le "Data Liberation Front", qui œuvre clandestinement pour permettre aux utilisateurs de quitter les services Google en emportant leurs données :
Les services Google ne sont par contre pas encore tous disponibles dans Takeout. L'export prend pour l'instant en charge l'export de Buzz (une page HTML par publication), de Contacts et de Circles (un fichier vCard par groupe de contacts), de Picasa Web Albums, de Profile (un fichier JSON) et des Flux Google+. Il manque donc essentiellement les mails (peut-être non inclus pour des questions de volumétrie...), les documents, les itinéraires Google Maps, etc... Pour pousser l'ouverture et la transparence jusqu'au bout, il serait également bon que Google propose une fonction "Takeout & Leave", qui exporterait les données avant de les supprimer.
Enfin, on notera que Google a pris soin de sécuriser cette fonction : même si vous êtes connecté à votre compte Google, il faudra saisir une première fois le mot de passe pour déclencher la génération de l'archive, et une seconde fois pour la télécharger. Il ne manquerait plus qu'un mot de passe sur l'archive.
Posté par Matt le 01/07/2011 à 08h41
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Source : Le Journal du Geek via Ptit_boeuf
Malgré le succès de la plupart de ses services en lignes, Google est toujours à la traine sur un secteur majeur du web d'aujourd'hui : les réseaux sociaux, largement dominés, pour ne pas dire écrasés, par Facebook et Twitter. Après plusieurs tentatives infructueuses, un nouveau projet, Google+, pourrait venir faire de l'ombre à Facebook...
En effet, alors que Google a jusqu'à présent toujours évité le choc frontal, en lançant des outils sociaux relativement différents de ceux de Facebook, semble viser clairement le réseau de Mark Zückerberg, au moment où justement ce dernier commence à perdre de la vitesse aux USA, et pourrait bien combler l'un des défauts les plus souvent cités à propos de Facebook.
Ainsi, dans la présentation du service, Google+ met l'accent sur la notion de "Cercles". Chaque contact pourra être placé dans un ou plusieurs cercles, et les informations partagées sur le réseau social pourront l'être avec les cercles de votre choix, alors qu'on reproche souvent au système de groupes de Facebook de ne pas offrir une gestion fine des niveaux de partage.
On retrouvera bien entendu aussi la possibilité d'uploader et de partager des photos, des vidéos, des liens, de participer à des chats de groupe... Le service proposera aussi des conversations vidéos, avec là encore une nouveauté assez originale, avec le concept de "Bulles" : branchez votre webcam, vos amis seront notifiés de votre disponibilité, et ceux qui le souhaitent pourront venir discuter avec vous et tous ceux qui vous auront rejoint dans votre "bulle". Autre nouveauté, la fonction "Déclics" permettra d'obtenir automatiquement des suggestion de contenus en fonction des centres d'intérêts définis dans votre profil.
Le service est pour l'instant en beta fermée, accessible uniquement sur invitation, mais il se pourrait bien qu'il ouvre rapidement, comme en témoigne le site de présentation du projet, déjà intégralement traduit en plusieurs dizaines de langues, ce qui n'est pas courant dans les beta de Goole.
Posté par Matt le 29/06/2011 à 08h21
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Source : Le Journal du Geek
Drôle de stratégie que celle de Nokia... Alors que le finlandais voit ses ventes dégringoler, il vient de lancer le N9, son nouveau smartphone haut de gamme sous MeeGo, tout en annonçant quelques jours plus tard sa volonté d'abandonner ce système.
En effet, Stephen Elop a confirmé dans une interview que la société ne comptait pas continuer le développement de MeeGo, quelques soient les résultats des ventes du N9, qui restera donc le seul smartphone de la firme à exploiter cet OS, même si Nokia envisage des possibilités dans le secteur des tablettes, auquel Windows Phone n'est pas encore adapté. Il est certain qu'avec une telle attitude, les ventes du N9 ont peut de chance d'être exceptionnels, avec un OS déjà condamné, ce qui n'attirera pas les développeurs d'applications tierces.
L'avenir de Nokia selon sous l'ère Stephen Enlop se résume donc en trois mots : "Windows ou rien". En effet, outre l'abandon officialisé de MeeGo, Enlop a totalement passé sous silence l'avenir de Symbian, comme si celui-ci faisait déjà partie du passé pour le PDG du groupe finlandais. Cette interview a tout de même le mérite d'annoncer clairement la couleur, et évitera donc peut-être à certains d'investir à perte dans ces deux plateformes à l'abandon.
Posté par Matt le 28/06/2011 à 10h50
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Source : Tom's Hardware
Alors qu'Oracle lui réclame plus de 6 milliards de dollars en l'accusant d'avoir violé plusieurs de ses brevets dans Android, Google se bat pour réduire au maximum le dédommagement. Dans ce cadre, l'éditeur d'Android vient de remporter une première victoire...
En effet, sur les vingt-et-une violations du brevet n°6192476 dénoncées par Oracle dans sa plainte, l'autorité américaine d'enregistrement des brevets en a invalidé dix-sept après réexamen du brevet, au motif qu'il existe des preuves d'existence de travaux similaires antérieurs au dépôt du brevet.
Si ces invalidations ne blanchissent pas complètement Google, et n'empêcheront pas Oracle de maintenir sa plainte, puisque six autres brevets sont concernés, elles pourraient toutefois obliger ce dernier à revoir fortement à la baisse l’indemnisation demandée.