Le firmware 1.1.0 de la Freebox Server publié lundi soir n'est pas resté disponible bien longtemps : en raison de gros soucis sur la téléphonie, Free est revenu au 1.0.5 moins de 24h plus tard. Ce nouveau firmware est revenu hier, sous la référence 1.1.1.

Corrections

• Pas de possibilité de faire sortir des appels
• Accès à la console d’administration en mode bridge
• Paramètre de réponse DHCP en broadcast non sauvegardé
• Compatibilité DLNA avec certaines TV
• Mauvaise priorité dans les flux locaux
• Compatibilité WiFi avec divers appareils mobiles
• Gestion de la température interne
• Enregistrement de France 3
• Bruit permanent du disque dur

Il y a également au moins deux autres modifications, non mentionnées par les développeurs :

• l'option permettant de régler la marge de bruit de la ligne ADSL a disparu,
• l'activation du Free WiFi n'est plus possible à partir de la console de gestion.

Free a publié hier soir un nouveau firmware pour le boîtier Server de la Freebox Révolution, qui passe à la version 1.1.0. Il s'agit là d'une mise à jour majeure, qui rétabli certaines fonctions de la V5 disparues sur la V6 et réclamées par de nombreux utilisateurs, notamment le mode bridge et le réseau FreeWiFi.

On notera aussi que la Freebox est désormais compatible AirPlay, ce qui permet de jouer sur ses haut-parleurs de la musique en provenance d'un appareil iOS ou d'un Mac.

Freebox Server

Nouvelles fonctionnalités

• Accès à l’interface de configuration depuis l’extérieur : disponible dans le menu « Connexion Internet »
• Client DynDNS
• Support du FAT32
• Mode Bridge
• Activation de FreeWifi
• Support des partages Mac OS et de TimeMachine
• Journal d’appels téléphoniques dans l’interface de gestion
• Possibilité de forcer la marge de bruit sur ADSL
• Possibilité de formater les disques USB externes

Corrections

• Gestion des enregistrements si le disque est plein
• Troncature de la taille du disque à l’affichage
• Support des tables de partitions GPT
• Correction de problèmes de compatibilité avec les périphériques mobiles
• Clients DHCP derrière un bridge : une nouvelle option « Forcer la réponse en broadcast » est disponible pour contourner le problème.
• Redémarrage par l’interface inopérant
• Meilleure compatibilité avec les supports de masse USB
• Gestion de plusieurs adresses MAC pour une entrée dans le DHCP
• Compatibilité WiFi avec les appareil iOS
• Nombreuses corrections et améliorations de compatibilité avec les téléphones DECT

Privateer Labs, une entreprise spécialisée dans la sécurité informatique, vient de révéler qu'une douzaines d'applications Android comportent des failles de sécurité pouvant rendre le système vulnérable à une attaque.

Facteur aggravant, il s'agirait d'application parmi les plus populaires, exposant donc un grand nombre d'appareils. Privateer Labs se garde toutefois de préciser lesquelles, en attendant que des correctifs soient disponibles, pour éviter d’attiser l’appétit des hackers.

Plus gênant pour Google, ces failles seraient amplifiées par des vulnérabilités de différentes fonctions du système. Riley Hassell, fondateur de Privateer Labs, évoque notamment les fonctions permettant à deux applications de communiquer entre elles, qui permettraient d'afficher de faux écrans de saisie de mot de passe et de récupérer l'entrée, ou encore au niveau des API de communication, qui pourraient permettre d'appeler des numéros surtaxés après avoir pris le contrôle d'une application vulnérable.

Ces nouvelles révélations n'arrangeront probablement pas les affaires d'Android, qui avait déjà été épinglé par Lookout Mobile Security il y a quelques jours, dans un rapport indiquant qu'Android est aujourd'hui 2.5 fois plus exposé aux malwares qu'il y a six mois. Probablement une conséquence de l'explosion de sa part de marché, qui attire forcément les hackers, mais aussi le prix à payer pour un peu plus de liberté, une plateforme ouverte étant forcément plus exposée qu'une plateforme verrouillée de toute part par son créateur.

Depuis des années, Nintendo parvient à dominer le marché des consoles portables grâce à ses principales licences de jeux vidéos, exclusives à ses consoles : Mario, Zelda, Pokemon... Mais avec les mauvaises ventes de la petite dernière, la 3DS, les actionnaires du nippon commencent à réclamer un changement de stratégie...

En effet, alors que le président du groupe reste convaincu que les licences Nintendo ne doivent être proposées que sur du matériel Nintendo, une partie des investisseurs commence à penser que la vraie valeur de Nintendo est dans ces licences plus que dans son matériel, et qu'il serait donc intéressant de les décliner sur d'autres plateformes.

Ce sont bien entendu les smartphones qui sont visés, puisque depuis l’avènement des appareils tactiles sous iOS ou Android, beaucoup de joueurs se sont détournés de leur console portable au profit d'un smartphone, bien plus polyvalent et aux jeux beaucoup moins chers. Une situation qui expliquerait en grande partie les difficultés de la Nintendo 3DS, qui peine à se vendre, au point que Nintendo a dû en réduire fortement le prix, quelques mois seulement après sa sortie.

Les actionnaires de Nintendo semblent donc vouloir suivre l'exemple de Sony, qui promet une compatibilité avec Android pour les jeux de sa future console portable PS Vita, voir de Sega, qui a totalement abandonné le marché des consoles pour ce concentrer sur celui des jeux sur PC, consoles et smartphones (avec un succès toutefois très mitigé...). Reste à convaincre l'exécutif...

En plus de la correction d'un bon nombre de bugs, cette nouvelle version apporte quelques nouveautés, ciblant essentiellement les développeurs. Le changement le plus visible pour les utilisateurs sera la mise en évidence des noms de domaines dans la barre d'adresse, comme le fait déjà Internet Explorer, pour mieux lutter contre le phishing.

• Le gestionnaire de modules complémentaires avec vérifications des plugins : vérifier que vos plugins sont à jour directement depuis le gestionnaire de modules complémentaires
• Groupes Panorama améliorés : réduit le temps de démarrage du navigateur en ne chargeant que les groupes d’onglets enregistrés quand vous utilisez Panorama
• Barre d’adresse amélioré : met en valeur le nom de domaine du site Web que vous visitez pour faciliter l’identification d’où vous êtes en ligne
• Bloc d’identité du site simplifié
• Le bloc-notes (Scratchpad) : développer et tester rapidement des extraits de code JavaScript dans le navigateur
• Support des Web Sockets avec une API préfixée
• Une console Web mobile
• Un nouveau menu spécifiques aux développeurs Web
• L’API Window.matchMedia
• Support des événements server-sent

• Télécharger Firefox 6.0 en français pour Windows,
• Télécharger Firefox 6.0 en français pour Mac OS X,
• Télécharger Firefox 6.0 en français pour Linux 32 bits,
• Télécharger Firefox 6.0 en français pour Linux 64 bits.

Un peu moins de huit ans après la sortie du premier Trackmania, le succès de la série n'est plus à démontrer, avec près de dix millions de joueurs enregistrés sur le serveurs de jeu en ligne pour la dernière version, Trackmania Forever. Particulièrement attendu, le prochain opus de la série arrivera le 14 septembre prochain.

Toujours développé par le studio français Nadeo, créateur de la série, mais désormais édité par Ubi Soft, Trackmania² : Canyon semble avoir gardé tous les atouts qui ont fait le succès de la série : une conduite à la fois extrêmement simple et très précise, misant à fond sur le contrôle des trajectoires en glissade pour gagner des médailles en contre-la-montre, des circuits parsemés de looping, virages relevés et autres pièges, des parties multijoueur endiablées (jusqu'à 200 joueurs en simultané !), un puissant éditeur de circuits... Il bénéficiera en plus d'un nouveau moteur graphique, plus travaillé mais toujours aussi efficace sur les petites configs, un moteur physique un peu plus réaliste, et une ouverture à des mods poussés, grâce à un langage de script dédié, le ManiaScript.

Côté contenu, on retrouvera aussi l'esprit Trackmania, puisque le jeu ne proposera à sa sortie qu'un seul environnement (Canyon) et un seul véhicule (type grosse GT américaine), mais un grand nombre de circuits. Le prix sera toujours aussi réduit, avec un lancement à seulement 19€99, tandis que l'équipe de développement promet des DLC gratuits pour étendre le jeu par la suite, comme c'était le cas avec les versions précédentes du jeu. De nouveaux environnements devraient également arriver, mais probablement pas gratuitement.

Enfin, pour ceux qui ne sont pas prêts à attendre jusqu'au 14 septembre pour découvrir cette nouvelle version, il sera possible de pré-commander le jeu dès le 17 août, ce qui donnera immédiatement accès à la version bêta.

Depuis plus de dix ans, des millions de nord-américains profitent du service Netflix, permettant de louer des films en illimité pour quelques dollars par mois, initialement via des DVD, mais désormais aussi en VOD par Internet. Un service de VOD similaire pourrait - enfin ! - arriver en France avant la fin de l'année.

Plusieurs acteurs de l'industrie du film auraient en effet dans leurs cartons des offres de VOD illimitées qui seraient facturées aux alentours de 10€/mois (soit le prix d'une place de cinéma plein tarif...). Un tel service est notamment évoqué du côté des fondateurs d'Allociné, qui espèreraient se lancer avant la fin de l'année avec une offre déclinée sur de nombreuses plateformes, des ordinateurs aux smartphones en passant par les TV et les tablettes, tandis que Canal+ pourrait dégainer une offre dès la rentrée.

Entre les offres de musiques illimitées (Deezer, Spotify...) et l'arrivée d'offres VOD illimitée, il semblerait donc que les ayants droits commencent enfin à comprendre que le modèle de la vente à l'unité est un modèle aujourd'hui largement dépassé, bon nombre d'utilisateurs préférant se tourner vers des offres illimitées, maintenant que la technologie le permet.

Sorti en 2005, GT Legends permettait de faire revivre dans une véritable simulation de courses quelques modèles de voitures GT qui ont marqué les années 60 et 70 : Ford Mustang, AC Cobra, Chevrolet Corvette, BMW CSL, Austin Mini Cooper S, Ford GT40, Jaguar MK2, Renault Alpine A110... Bonne nouvelle pour les possesseurs du jeu : six ans après, l'éditeur propose une mise à jour pour le rendre compatible avec Windows 7.

La version originale du jeu était dotée d'une protection anti-copie StarForce, incompatible avec les versions récentes de Windows. Il y a quelques mois déjà, SimBin avait publié sur sa boutique en ligne une réédition du jeu, dépourvue de cette protection, vendue 10€.

Mais l'éditeur va plus loin, puisqu'il a le bon goût de proposer gratuitement cette version dématérialisée à tous ceux qui fourniront la preuve qu'ils possèdent la version DVD du jeu ! Pour l'obtenir, il vous suffira de suivre les instructions, c'est-à-dire de vous créer un compte sur RaceRoom Online, puis de créer un ticket sur le helpdesk avec comme sujet "GT-Legends Revival", et d'y joindre une photo sur laquelle apparaissent :

• la boîte du jeu,
• la galette, avec son code d'activation StarForce,
• la face arrière du livret, avec le code d'activation pour le jeu en ligne,
• un papier manuscrit comportant la date et votre login RaceRoom.

Vous recevrez quelques heures plus tard une clé d'activation du jeu pour RaceRoom, qui vous permettra de le télécharger en intégralité (2.5 Go...) et de retrouver les joies du pilotage de ces mécaniques d'antan :-) Gentlemen, start your engine !

Lorsque Google a lancé son réseau social Google+, il y a un peu plus d'un mois, il a opté pour une phase de beta sur invitation, comme souvent. Au début, les invitations étaient rares et précieuses, mais rapidement, Google a commencé à ouvrir les vannes, ce qui a permis une forte croissance du nombre d'inscrits. Google vient d'ouvrir les vannes à leur maximum, avec une nouvelle fonction pour inviter massivement ses contacts.

Désormais, pour inviter vos connaissances à vous rejoindre sur Google+, vous n'aurez en effet plus besoin de les inviter en recopiant leur adresse e-mail dans le formulaire d'invitation, il vous suffira de leur envoyer directement un lien par e-mail. Ce lien pourra ensuite être utilisé par jusqu'à 150 personnes pour rejoindre le réseau social.

Avec ce nouveau système d'invitation, on peut désormais quasiment considérer que Google+ est ouvert à tous, tant il devient facile d'obtenir des invitations. Reste à voir si Google se décidera rapidement à ouvrir les inscriptions à Google+, où si le service va rester réservé aux invités pendant des mois ou des années, comme Gmail en son temps.

Notons également que les invitations à la beta de Google Music semblent également être de plus en plus nombreuses, même si on est loin d'atteindre les proportions de Google+.

En tant que membre du MPEG-LA, Microsoft est bien entendu opposé au format vidéo VP8 de Google, concurrent du H.264, et fait d'ailleurs parti des entreprises ayant annoncé détenir des brevets violés par le VP8. Mais curieusement, Skype, récemment acquis par Microsoft, semble au contraire apprécier ce format...

En effet, le spécialiste de la communication audio et vidéo sur Internet vient d'adopter le codec VP8 dans la nouvelle version de son logiciel, pour permettre une meilleure qualité d'image dans les conversations vidéo. Les décideurs de Skype ont donc choisi de privilégier la continuité (Skype utilisait jusqu'à présent le codec VP7, prédécesseur du VP8), plutôt que de suivre la ligne directrice de la nouvelle maison mère. Un moyen de montrer que Skype conserve une certaine indépendance, malgré ce rachat ?

Si le MPEG-LA décidait d'aller plus loin, en attaquant en justice les utilisateurs du format VP8, il serait en tout cas particulièrement cocasse de voir un groupe d'entreprises incluant Microsoft attaquer une division de Microsoft...