OCZ Vertex : la nouvelle star des SSD ?
Présentation
Avant de passer aux tests, commençons par la théorie et la présentation de la bête.
Caractéristiques techniques
- capacité : 30, 60, 120 ou 250 Go,
- mémoire cache : 64 Mo,
- débit en lecture : 230 Mo/s (30 et 60 Go) ou 250 Mo/s (120 et 250 Go),
- débit max en écriture : 135 Mo/s (30 et 60 Go), 180 Mo/s (120 Go) ou 160 Mo/s (250 Go),
- débit en écriture soutenue : 80 Mo/s (30 Go), 70 Mo/s (60 Go) ou 100 Mo/s (120 et 250 Go),
- temps d'accès : inférieur à 0.1ms,
- consommation : 2W en activité, 0.5W au repos.
Dès les caractéristiques techniques, on constate une différence majeure par rapport aux précédents modèles d'OCZ : les Vertex embarquent un cache.
Packaging
Alors que les constructeurs de supports de stockage de masse nous ont plutôt habitué à une absence de packaging, OCZ fait l'effort de livrer les Vertex dans une "belle" boîte.
A l'intérieur, on retrouve le Vertex, bien maintenu dans un support en mousse, et une maigre notice d'utilisation.
Le Vertex
Le Vertex est constitué d'un châssis métallique en deux pièces, encadrant une carte mère sur laquelle on trouve le contrôleur Indilinx, une puce de 64 Mo de SDRAM Elpida et 16 puces de 4 Go de mémoire flash Samsung.
Le contrôleur Indilinx Barefoot
Tout comme les contrôleurs des SSD Intel, Samsung, ou encore Mtron, le contrôleur Barefoot d'Indilinx est basé sur un cœur ARM7 dédié au traitement du wear-leveling. Il est associé à un contrôleur SATA2, un contrôleur mémoire SDRAM 32 bits pour le cache, un contrôleur flash à 16 canaux, mais aussi un contrôleur dédié à la recherche et un dédié au contrôle des buffers.