Alors que les acteurs français de l’industrie culturelle sont toujours présents pour accuser le piratage de tous les mots, mais ne sont jamais là quand il s’agit de repenser leur modèle économique pour l’adapter aux modes de consommation d’aujourd’hui, une étude réalisée en Norvège montre à quel point une offre légale adaptée peut venir enrayer le piratage.