Début mai, l’institut Fraunhofer, créateur de l’algorithme de compression MP3 et dépositaire des brevets qui vont avec, a annoncé qu’il mettait fin à la commercialisation de licences sur ces brevets, enjoignant ses clients à se tourner vers des algorithmes plus récents, comme l’AAC. Il n’en fallait pas plus pour que la presse tech multiplie les articles annonçant que le MP3 est mort. Mais non, il n’est pas mort, il est seulement libéré !