Depuis qu’ils ont été imaginés, dans les années 70, les ordinateurs quantique font figure de Saint Graal de l’informatique, et ce d’autant plus que l’approche des limites physiques de l’atome rend de plus en plus difficiles les gains de performances d’une génération d’ordinateurs à l’autre. Un Saint Graal qui se précise de plus en plus, et dans lequel Google et la NASA viennent d’investir…